Ce qu’il nous restait de libido
jean Ammann
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Chronique » Pas de Froome, pas de Geraint Thomas, pas de gonzesses. Et on voudrait que je regarde le Tour de France! Ils voudraient nous dégoûter du sport qu’ils ne s’y prendraient pas autrement. A la limite, je peux me passer de Froome et de Thomas, mais pas des gonzesses. Je suis à un âge où les défaillances de la libido se mêlent aux inquiétudes de la prostate (à moins que ce ne soit l’inverse). J’ai l’âge sous la ceinture.
Je comprends pour Froome et Thomas, ils sont hors de forme. Mais les miss du podium, c’était tout le contraire.
Enfin, bon, il faut se faire une raison: nous ne verrons plus ces êtres curvilignes se lover contre le champion pour déposer un baiser écarlate sur cette joue au parfum d’Isostar. C’était la récompense du héros, l’équivalent des mille vierges promises a