La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

Deux semaines offertes au Club Med

Le jeune père prenant soin de son enfant: cette activité équivaudrait à des vacances, paraît-il... Keystone
Le jeune père prenant soin de son enfant: cette activité équivaudrait à des vacances, paraît-il... Keystone

Angélique Eggenschwiler

Publié le 08.09.2020

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Le mot de la fin

Le 27 septembre, nous nous prononcerons sur l’instauration d’un congé-paternité de quatorze jours. Deux semaines, ça paraît raisonnable, c’est à peu près trente-quatre fois moins que le congé parental suédois à répartir entre les deux partenaires. C’est tout juste l’équivalent du congé-paternité kenyan et un chouia moins que ce qu’on vous accordera si vous devenez papa en Bulgarie.

Est-ce bien nécessaire me demanderez-vous? Au fond, tout le monde sait qu’il faut avoir un soutien-gorge et des mollets épilés pour changer une couche. Et entre nous, nous avons fait sans jusqu’ici, ça n’a jamais empêché personne de se reproduire. Remarquez, nous avons aussi fait longtemps sans la pénicilline, l’anesthésie ou le papier toilette…

Mais je vous

Articles les plus lus
Dans la même rubrique
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11