A la salsa mexicana
Au Mexique, si le cinéma est tonique, les séries héritées des telenovelas ne sont pas en reste
Aurélie Lebreau
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Florilège » Le cinéma mexicain se porte bien, merci pour lui. On pense évidemment à ses réalisateurs phares, Alfonso Cuarón (Lion d’or à Venise pour Roma, sorti directement sur Netflix), Guillermo del Toro (Oscars du meilleur film et du meilleur réalisateur et lui aussi Lion d’or pour La forme de l’eau) et Alejandro González Iñárritu (quatre Oscars à son actif et un prix de la mise en scène à Cannes pour Babel, sans compter son bon goût d’avoir révélé Gael García Bernal, un autre Mexicain, dans Amours chiennes). Et quand bien même ces trois têtes de proue, amies à la ville, sont établies à Los Angeles, elles conservent une sensibilité proche de leurs racines natales. Une particularité qui n’a pas échappé au Festival international de films de Fribourg (FIFF)