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A la salsa mexicana

Au Mexique, si le cinéma est tonique, les séries héritées des telenovelas ne sont pas en reste

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De haut en bas, Ana María (Irene Azuela), l’héroïne de Monarca, au milieu des agaves, le parachute fatal à Sara (Qui a tué Sara?), puis l’excellente Cecilia Suárez (à droite) dans La casa de las flores et Paulina Goto (à gauche) et Ludwika Paleta apprennent à s’apprécier dans Deux mamans sous le même toit. © Netflix
De haut en bas, Ana María (Irene Azuela), l’héroïne de Monarca, au milieu des agaves, le parachute fatal à Sara (Qui a tué Sara?), puis l’excellente Cecilia Suárez (à droite) dans La casa de las flores et Paulina Goto (à gauche) et Ludwika Paleta apprennent à s’apprécier dans Deux mamans sous le même toit. © Netflix
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Aurélie Lebreau

Publié le 24.04.2021

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Florilège » Le cinéma mexicain se porte bien, merci pour lui. On pense évidemment à ses réalisateurs phares, Alfonso Cuarón (Lion d’or à Venise pour Roma, sorti directement sur Netflix), Guillermo del Toro (Oscars du meilleur film et du meilleur réalisateur et lui aussi Lion d’or pour La forme de l’eau) et Alejandro González Iñárritu (quatre Oscars à son actif et un prix de la mise en scène à Cannes pour Babel, sans compter son bon goût d’avoir révélé Gael García Bernal, un autre Mexicain, dans Amours chiennes). Et quand bien même ces trois têtes de proue, amies à la ville, sont établies à Los Angeles, elles conservent une sensibilité proche de leurs racines natales. Une particularité qui n’a pas échappé au Festival international de films de Fribourg (FIFF)

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