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Avec «Le jeu de la dame», le machisme mis échec et mat

L’étonnante Anya Taylor-Joy, parfaite dans son rôle. © Netflix
L’étonnante Anya Taylor-Joy, parfaite dans son rôle. © Netflix
Publié le 21.11.2020

Temps de lecture estimé : 2 minutes

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Un cerveau glamour » Son père l’a abandonnée, sa mère a préféré le suicide… L’histoire commence mal pour la petite Beth Harmon, orpheline dans le Kentucky, peu après la Seconde Guerre mondiale. A l’époque, les institutions d’accueil ne font pas dans la demi-mesure: discipline de fer, pudibonderie de rigueur, uniformes ternes, tranquillisants. Il en faut pour Beth, peu sociable, instable et… surdouée. Elle semble avoir hérité de capacités hors norme pour les combinaisons, les abstractions. Ses prédispositions sont remarquées par le concierge en place, un vieil homme s’inventant des parties d’échecs pour tuer l’ennui…

La trame de départ du Jeu de la dame (The Queen’s Gambit, en version originale, du nom d’un coup de maître dans ledit sport sur platea

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