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Latifa Echakhch, mémoire remplie

L’installation The Concert, présentée par l’artiste au Pavillon suisse est une réussite totale, une expérience sensorielle dont on ressort changé

Latifa Echakhch, mémoire remplie
Latifa Echakhch, mémoire remplie

Jean-François Albelda

Publié le 30.04.2022

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Art contemporain » Depuis la place Saint-Marc, on longe le bord de la lagune en direction des Giardini de la Biennale, là où la Suisse et nombre de pays battent pavillon lors du rendez-vous le plus couru de l’art contemporain planétaire. Devant nous, une silhouette familière, de noir vêtue, le cheveu long, poivre et sel, joliment coiffé vers l’arrière. Le hasard nous fait faire la queue côte à côte pour assister à cette pré-ouverture de la Biennale destinée à la presse et aux invités. «Bonjour Stephan, on s’est déjà croisés quelques fois en interview, je travaille pour Le Nouvelliste. «Ah, oui, bonjour! C’est votre première Biennale? Non? Moi oui, alors je vous lâche pas.»

Parmi les personnalités présentes ce mercredi 20 avril, donc, Stephan Eicher, qui décide de jouer les pigistes. Quand le directeur de Pro Helvetia Philippe Bischof accueille le chanteur, celui-ci lance: «Aujourd’hui, je suis stagiaire journaliste. Je vais pouvoir poser des questions idiotes…» Ambiance joye

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