Un festival pour ouvrir des brèches
Le Belluard Bollwerk se «reconstruit» entièrement en plein air du 24 juin au 3 juillet
Elisabeth Haas
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Arts vivants » Les sourires étaient optimistes hier, à l’heure où le festival du Belluard pouvait présenter aux médias sa 38e affiche. Après les désillusions de l’an dernier (la seconde vague de la pandémie a emporté même le «plan BB», imaginé pour compenser l’annulation du festival 2020), c’est confiante que Laurence Wagner donnait goût à la trentaine de propositions artistiques qu’elle se réjouit de montrer à Fribourg du 24 juin au 3 juillet prochains.
La directrice du Belluard Bollwerk n’a pas hésité à «construire, déconstruire, reconstruire» sa programmation, en tenant compte des restrictions et des ouvertures sur le front sanitaire. Aucun programme papier n’a été imprimé – c’est le site web du festival qui fera foi – pour pouvoir rester flexible, par exemple si un artiste ne pouvait pas venir en Suisse. A l’heure actuelle, 100 places par représentation sont mises en vente.
Le corps non binaireLa 38e édition se tiendra exclusivement en plein air, c’est-à-dire dans