La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

Rester dans la course

La chorégraphe veveysanne Jasmine Morand revient au solo avec Aria, pour Fabio Bergamaschi. A voir dans le cadre de la Fête de la danse

Aria dépasse la virtuosité démonstrative en favorisant la densité et la tension du mouvement. © Céline Michel
Aria dépasse la virtuosité démonstrative en favorisant la densité et la tension du mouvement. © Céline Michel
Aria dépasse la virtuosité démonstrative en favorisant la densité et la tension du mouvement. © Céline Michel
Aria dépasse la virtuosité démonstrative en favorisant la densité et la tension du mouvement. © Céline Michel
Aria dépasse la virtuosité démonstrative en favorisant la densité et la tension du mouvement. © Céline Michel
Aria dépasse la virtuosité démonstrative en favorisant la densité et la tension du mouvement. © Céline Michel

Elisabeth Haas

Publié le 07.05.2022

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Scène » Jasmine Morand a présenté deux pièces à grande distribution à Nuithonie: Mire et Lumen, deux propositions fortes où des jeux de miroirs questionnaient le regard du spectateur. Après ces deux succès qui ont tourné à l’étranger, après un prix Label+ romand et un Prix suisse des arts de la scène, la chorégraphe veveysanne revient à la forme de ses débuts, le solo. Elle ne danse pas elle-même cette fois, mais a réglé Aria pour Fabio Bergamaschi. Deux représentations ont lieu mercredi et jeudi, dans le cadre de la Fête de la danse.

Pourquoi ce retour au solo après avoir expérimenté des grands groupes de danseurs?

Jasmine Morand: J’étais la première femme et la première chorégraphe à avoir reçu le Label+ romand – arts de la scène, qui m’a permis de travailler avec un grand groupe, d’aborder un travail d’envergure. J’ai envie bien sûr de continuer d’explorer ça. Mais auparavant j’ai beaucoup travaillé la forme du solo. Je cherche à retourner

Articles les plus lus
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11