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Des points pour aller de l’avant

Réparer un vêtement est devenu une alternative socialement valorisée pour lutter contre le gaspillage

A gauche, Pey raccommodant un jeans. A droite, designs développés par les participants à un atelier de Golden Joinery. © Pey/Fan Liao/Margreet Sweerts et Saskia van Drimmelen
A gauche, Pey raccommodant un jeans. A droite, designs développés par les participants à un atelier de Golden Joinery. © Pey/Fan Liao/Margreet Sweerts et Saskia van Drimmelen

Aude-May Lepasteur

Publié le 23.09.2021

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Mode » Vous les avez probablement vues sur Instagram ou Pinterest, toutes ces photos de magnifiques reprisages, des trous de chemisier camouflés par des fleurs brodées, des chaussettes dont les mailles manquantes ont été retricotées en laine colorée, d’élégants patchworks de toile de jeans. Réparer ses vêtements n’a certainement jamais été aussi à la mode. Et tout ça grâce au scandale de la fast fashion.

100 milliards de vêtements produits en 2014, selon Greenpeace, soit un doublement de la production entre 2000 et 2014. En 2020, Oxfam, une ONG luttant contre les inégalités, évoque pour sa part 130 milliards pour une augmentation de 60% sur quinze ans. Où que l’on regarde, les chiffres présentés donnent le tournis. Ils n’ont que peu à voir avec l’augmentation de la population mondi

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