Avec la bénédiction de papa et maman
Natan Jurkovitz et Yoan Granvorka ont choisi le basketball alors qu’ils ont grandi parmi des volleyeurs
Pierre Salinas
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Basketball » L’absence de «h» dans leur prénom n’est pas la seule originalité qu’ils ont en commun. Internationaux suisses mais Franco-Suisses tous les deux, Natan Jurkovitz et Yoan Granvorka ont choisi de lancer un ballon dans un panier alors que maman et papa préféraient le faire passer par-dessus un filet. Entre basket et volley, les cœurs du polyvalent N°99 d’Olympic et de l’élégant arrière-ailier d’Union, opposés ce samedi soir (18 h) à la salle de la Riveraine de Neuchâtel, ont pu balancer. Ne serait-ce qu’en raison du cocon familial dans lequel ils se sont épanouis.
Une parenthèse volleyball et seulement volleyball s’impose. Si Inès et Jean-Marc Jurkovitz ont été des piliers de l’équipe de France, Séverin Granvorka en a écrit l’Histoire, avec un grand H, to