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Le grand paradoxe du ski-alpinisme

Morgins a accueilli une Coupe du monde de sprint ce jeudi, cette discipline qui sera olympique en 2026

C’est dans la zone de portage que Robin Bussard a su faire la différence ce jeudi lors du sprint de Morgins. © Keystone/Maxime Schmid
C’est dans la zone de portage que Robin Bussard a su faire la différence ce jeudi lors du sprint de Morgins. © Keystone/Maxime Schmid

Patrick Biolley, Morgins

Publié le 27.01.2022

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Ski-alpinisme » Alors que les premiers athlètes sont déjà arrivés à Pékin pour les Jeux, à 8000 km de là, à Morgins, l’élite du ski-alpinisme a déjà le regard tourné vers 2026 et les prochaines olympiades de Milan-Cortina. Pour cause, leur sport y fera sa grande entrée et les compétitions de cette semaine dans la station valaisanne sont une sorte de grande répétition. Car, comme à Morgins, deux disciplines du ski-alpinisme seront à l’honneur dans quatre ans: l’individuelle, épreuve reine, et le sprint, dénigré par les puristes mais porte d’entrée olympique. C’est le paradoxe d’un sport en pleine évolution qui doit faire cohabiter amoureux de la montagne et sportifs de performance. «Pour les puristes, le sprint, c’est uniquement du spectacle, résume Dé

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