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Lutte suisse féminine: «Nous sommes une trentaine en Romandie»

Les femmes enfilent aussi la culotte. Elles ont fort à faire pour gagner en visibilité et grossir leurs effectifs

Yolanda Foulk, de face, ici lors de la fête de Portalban le 14 mai dernier, a commencé la lutte suisse voici une dizaine d’années pour faire comme son grand frère. © Alain Wicht
Yolanda Foulk, de face, ici lors de la fête de Portalban le 14 mai dernier, a commencé la lutte suisse voici une dizaine d’années pour faire comme son grand frère. © Alain Wicht

Patricia Morand

Publié le 01.07.2022

Temps de lecture estimé : 9 minutes

Lutte suisse » Si Madame porte parfois la culotte au sens figuré, elle peut aussi le faire au sens propre. Dans la sciure. Elles n’attirent pas autant de participantes ou de spectateurs que celles des hommes, mais les fêtes de lutte suisse féminine existent depuis 1980.

Elles sont bien moins nombreuses – le calendrier 2022 n’en recense que 7 contre plus de 100 chez les actifs messieurs – et se déroulent le samedi, alors que c’est le dimanche pour les Böse (les méchants, le surnom des lutteurs dans le milieu). La première de l’année a eu lieu à Portalban en mai. La quatrième se déroule samedi à Porsel.

Particularité de la déclinaison féminine de cette discipline populaire au pays de Heidi et traditionnel bastion masculin, chaque année – sauf en 2020 et en 2021 pour cause de pandémie –

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