C’est une avancée qui pourrait s’avérer significative pour les patients combattant le particulièrement meurtrier cancer du poumon.

Parce que, même si le traitement contre ce dernier «s’est développé de manière fulgurante au cours des vingt dernières années», plus de la moitié des patients développe une résistance vis-à-vis de celui-ci, affirme le service de communication de l’HFR dans un communiqué. 

Le problème: peu d’alternatives thérapeutiques existent. C’est pourquoi Alessandra Curioni-Fontecedro, médecin-cheffe de l’Unité d’oncologie de l’HFR, a dirigé une étude publiée dans la revue scientifique Nature Communications.

Cette dernière a permis de constater chez certains patients que des cellules immunitaires n&eacu